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Marie Beaulieu s’engage dans deux projets de recherche subventionnés par le Fonds de recherche société et culture à titre de co-chercheure (Janvier 2021)

Dirigé par Hélène Carbonneau (UQTR), le premier projet s’inscrit dans le Programme de recherche sur les personnes aînées vivant des dynamiques de marginalisation et d’exclusion sociale du FRQ et se déroulera de 2020 à 2023 (222 246 $).

Par son titre évocateur, Participation sociale des aînés faisant face à des dynamiques de marginalisation et d’exclusion, développement d’outils d’intervention pour soutenir leur inclusion en milieu communautaire de loisir : une recherche-action, ce projet de recherche s’attarde à mieux outiller les associations d’aînés en vue d’offrir des activités de loisir à 3 groupes de personnes aînées marginalisées ou stigmatisées par leurs « conditions invisibles » : atteintes neurocognitives, déficience intellectuelle et problématique de santé mentale.

Marie Beaulieu y jouera un rôle plus actif au moment des analyses transversales des données tirées des 3 groupes en faisant ressortir des liens avec la lutte sont maltraitance et la promotion de la bientraitance. Le tout sera fait en vue de dégager des pistes d’action.

Le second projet de recherche auquel Marie Beaulieu participe à titre de co-chercheure de 2020 à 2022 (174 926 $) s’intitule : Des résidences privées plus saines, sécuritaires, accueillantes et inclusives au moyen d’un jeu sérieux visant à prévenir et contrer la maltraitance envers les personnes aînées lesbiennes, gaies, bisexuelles et trans (LGBT+).

Dirigé par Marie-Ève Bédard, Chercheure au Cégep de Drummondville et ancienne étudiante dirigée par Marie Beaulieu diplômée d’un doctorat en gérontologie, cette recherche-action à pour but de « prévenir et contrer les situations de maltraitance envers les personnes aînées LGBT+ vivant dans les RPA, par une meilleure compréhension de ces situations, ainsi que le développement, l’implantation et l’évaluation d’un jeu sérieux. »

En définitive, ce projet permettra de mieux « comprendre comment les caractéristiques des personnes maltraitées et maltraitantes, leur contexte de vie ou leur environnement – en interaction avec des facteurs sociaux, politiques et culturels – influencent les dynamiques de maltraitance au sein des RPA, et les interventions réalisées pour les prévenir ou les contrer. »