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Marie Beaulieu participe aux travaux internationaux de l’International Network for the Prevention of Elder Abuse (INPEA) mis sur pied durant la pandémie de la COVID-19 (Mai 2020)

S’échelonnant sur cinq semaines à un rythme d’une réunion hebdomadaire, les travaux extraordinaires de l’INPEA ont pour finalité de mousser les échanges internationaux sur les répercussions de la COVID-19 chez la population aînée à l’internationale.

Ce groupe restreint, composé d’une trentaine de participants œuvrant dans le champ du vieillissement en provenance de tous les continents, constitue un véhicule de transmission des réflexions, des expériences, des préoccupations et de recherche de solutions quant :

  • Aux conditions de vie et de soins des personnes aînées dans les différents lieux d’habitation ;
  • Aux situations de violation de leurs droits et à la discrimination y étant associée ;
  • À la recrudescence des fraudes financières commise envers ce groupe ;
  • Aux conséquences psychologiques et aux impacts de l’isolement social découlant des mesures de confinement ;
  • Au déploiement des ressources communautaires pour venir en aide aux personnes aînées dans les pays en développement.

Marie Beaulieu a ouvert les travaux par une allocution faisant état de la condition socio-sanitaire en date du 22 avril 2020 à l’échelle nationale (Canada) et provinciale (Québec).

S’en est suivi une présentation des réponses stratégiques de santé publique touchant particulièrement la population aînée (70 ans et plus).

Sa contribution au groupe de travail s’est clôturée par un partage sur les démarches entreprises par la Chaire de recherche depuis le début de la pandémie. À titre d’exemple, cela inclut :

Pour vous familiariser avec la mission de l’INPEA, nous vous invitons à visiter le site web de l’ONG internationale et la description de leurs apports au sein du groupe de travail à l’Organisation des Nations Unies.